Regardez ma peau, elle est claire, blanche comme celle des arabes. Voyez mes cheveux, lisses et jais. Mais ton miroir te ment, tes folies te mentent, tu es bronzé comme Bilal, et tes cheveux sont aussi crépus que les racines d'un baobab.
Les berceuses assassines, SAST Editions Komedit 2007
Laisser un commentaire